Une saison, un groupe de scouts s’était improvisé alors que les visiteurs, eux, étaient venus sur réservation. Il ne pouvait refuser les trente jeunes, enjoués de venir, ni renoncer à plus de marge pour sa visite. Tout s’était passé dans la bonne humeur, serrés comme des sardines dans la salle principale à une quarantaine ou plus (au lieu de trente à l'époque, douze, donc, plus tard), les jeunes debout pendant le spectacle.

Mais un autre jour, usé, et réussissant enfin à se passer d’anxiolytiques (l’anxiolytique du père étant la bière de l’après-midi) et ayant prévenu, Pierrot a décidé de ne pas recevoir un car et s’est enfermé chez lui, à côté du musée.

À la suite de cela, l’homme l’a encore provoqué ; de colère, Pierrot, à grands coups de pieds, a cassé des vitrines et est ressorti pour se ressourcer. Son père était sur les marches de l’entrée, ayant compris qu’après cela, il fallait maintenant empêcher le fils d’en rajouter. Pierrot, voyant l’homme, ce « gorille », faire barrage devant la porte, lui a foncé tête baissée dans le ventre, en plein estomac. Le patriarche, souffle coupé, s’est retrouvé sur le dos, passé les marches de l’entrée. Le fils, en chaussures robustes, se retrouvait à l’intérieur, un pied de chaque côté de la tête de son père. Il l’a épargné, car il aurait pu le défigurer. Deux minutes après, l’homme réattaquait en lui disant : « tu vois, il t’en restait, de l’énergie !».

Je me souviens que Pierrot m’a dit que devant son père, il s’est effondré en larmes et que celui-ci, ancien haut fonctionnaire de l’époque, jamais poussé à bout, n’avait pas compris que cette révolte, c’était l’énergie du désespoir. C’est tout ce qu’il m’a dit sur cette séquence


9 -Jouets en bois, XXème S.

Bateau de bassin en bois à roulette. 37 cm.

Bilboquet en bois 20 cm.

Canon en bois 45 cm.

Canot en bois Batyscaphe - Borda-. Neuf en boîte.

Voilier 36 cm.

Château fort coffret composition et bois. D'origine. 71 x 47 cm.

Deux véhicules dont un camion de pompier ( quilles ) en bois. Années 60

Étable en bois. Comice agricole. Longueur 45cm sur une hauteur de 37cm. Bel état d'usage.

Écurie en bois. Hauteur 50cm. Avec ses deux chevaux et deux vaches, trois sujets. Quelques accidents sur les sujets.

Un autel en bois. Hauteur 50cm.r 63cm. Largeur 30cm. Accident sur le plateau. Très bon état.


 

A group of Scouts once made an unscheduled stop while some visitors were having a reserved tour. Pierrot couldn’t refuse these 30 youngsters who were overjoyed to be there, nor take time away from the reserved visit. It all took place in good fun, with everyone packed like sardines in the main room with 40 or more (instead of the 30 allowed, and 12 later on), with the children standing during the show.

 

    But on another day, worn out and successfully off anti-anxiety pills (the father’s anti-anxiety was the afternoon beer) Pierrot decided not to accept a busload and locked himself in his rooms adjoining the Museum.

 

    After that the father provoked him again. Enraged, Pierrot kicked out some display cases and departed. His father was on the stairs at the entrance, having understood that he must now prevent his son from returning. Pierrot, seeing the “gorilla” blocking his way, charged and rammed his head into his stomach. The father, breathless, found himself on his back at the top of the stairs. The son, wearing heavy shoes, stood in the entrance with one foot on either side of his father’s head. He held back, instead of disfiguring him. Two minutes later the man attacked again saying: “You had more than enough energy!”

 

    I remember Pierrot saying he did burst into tears before his father, an ex-bureaucrat who never pushed his limits, hadn’t understood his revolt was the energy of despair. This is all Pierrot mentioned about the incident.

 

 

Una temporada, un grupo de exploradores, (boy scouts) se habían presentado sin aviso mientras los otros visitantes habían venido con reserva. No podía rechazar a los treinta jóvenes, alegres por haber venido, ni ceder más margen para su visita. Todo había estado dentro del buen humor, pero abarrotados como sardinas en la sala principal a cuarenta o más (en lugar de treinta en ese momento, doce, más tarde), los jóvenes de pie durante el espectáculo.

 

Pero otro día, fatigado y finalmente logrando prescindir de ansiolíticos (el ansiolítico del padre siendo la cerveza de la tarde) y habiendo advertido, Pierrot decidió no recibir un autobús y se encerró en su casa, al lado del museo.

 

 

 

Como resultado de esto, el hombre nuevamente lo provocó. Enfadado, Pierrot, con grandes patadas, rompió las estanterías de la tienda y salió a relajarse. Su padre estaba en los escalones de la entrada, después de haber entendido que después de eso, era necesario evitar que el hijo añadiera más jaleo. Pierrot, viendo al hombre, este "gorila", bloqueando la puerta, le propinó un golpe fuerte con la cabeza en el estómago. El patriarca, sin aliento, cayó de espaldas, más allá de los escalones de la entrada. El hijo, con zapatos resistentes, se encontró dentro, con un pie a cada lado de la cabeza de su padre. Lo perdonó porque podría haberlo desfigurado. Dos minutos después, el hombre reaccionó diciéndole: "¡ya ves, aún te queda energía!"

 

 

Recuerdo que Pierrot me dijo que frente a su padre, se echó a llorar y que éste, ex alto funcionario en su día, nunca exasperado a tope, no había entendido que esta revuelta, era la energía de la desesperación. Eso es todo lo que él me contó sobre esta secuencia.

LA FEMME ASIATIQUE

 il était une fois . . . une asiatique qui venait de se marier à un français qui vivait à Paris.

 

 La pauvre fille ne connaissait malheureusement pas beaucoup de mots en français, mais réussissait quand même à communiquer avec son mari

 Sa difficulté était de se faire comprendre chez les commerçants...

Un jour, elle se rendit chez le boucher pour acheter des cuisses de poulet.

 Ne sachant pas comment le demander, elle leva sa jupe jusqu'à ses cuisses en baragouinant...

le boucher comprit et la dame retourna chez elle avec des cuisses de poulet.

Le lendemain, elle eut besoin de poitrines de porc .

Encore une fois, ne sachant quoi dire au boucher, elle dégrafa sa blouse, et montra sa poitrine au boucher en baragouinant ..

Et encore une fois, la dame obtint ce qu'elle désirait.

Le 3eme jour, la dame eu besoin de saucisses.

Elle amena son mari chez le boucher ....

Que va-t-elle faire ? Réponse à la fin

 

 

 

 

 

 

 

A quoi pensiez vous bande de pervers?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Son mari parle Français... Vous n'écoutez pas ce qu'on vous dit !